Reunion du conseil [libre]

[Ce topic est libre a tous ceux qui veulent participer j'ai essaye de faier une sorte de senat des nobles qui dirigent la societe dans le but de donner des grandes lignes a l'ensemble des nobles donc: les omegas sont vivement souhaites, et les alpha qui le veulent peuvent participer]

Igor ce leva de son fauteuil et regarda dehors.
Le ciel n'etait presque pas voile aujourd'hui et pourtant c'etait deja une mauvaise journee.
Il avait recu une convocation du conseil.Encore aujourd'hui il allait passer la journee avec les autres nobles dirigeants pour decider comment avoir plus de pouvoir, plus d'argent et surement le theme recurrent des reunions du conseil: comment ce debarrasser des rebelles.

Il prit sa canne posee sur le cote de son bureau.Appuya sur un bouton qui sortait sur le dessus du bureau.

"C'est moi, vous ferez annuler tous mes rendez-vous aujourd'hui."
Avant d'avoir entendu la reponse de sa secretaire il etaignit l'apareil et ce dirigea vers l'ascenseur du conseil.
Tous les dirigeants en avaient un dans leur bureau, c'etait un ascenseur avec 2 boutons seulement.Un pour l'etage du conseil et un autre pour leur bureau.

Igor posa son doigt sur le lecteur, l'identification effectuee il entra dans la capsule de verre et d'acier et appuya sur le bouton du conseil.

Le voyage fut rapidement termine, il n'etait , comme tous les membres du conseil, qu'as quelques etages seulement de la chambre du conseil.
Une fois sortit de l'ascenseur il presenta son ecusson aux gardes de faction a l'entree.
Chaque membre devait avoir son propre ecusson, admis par le conseil et necessaire a l'entree dans la salle.
Il continua de marcher, toujours appuye sur sa canne, traversa le couloir aux murs charges de peinture de l'ancien temps et de reliques sans ages pour arriver dans la salle du conseil.

Ceux qui avaient cree cet endroit devaient etre plus sage que ceux qui l'utilisaient maintenant.
C'etait une vaste salle ronde, La lumiere etait assuree par une grande baie vitree au plafon qui illuminait chaque siege sans apporter la moindre gene aux personnes assises et gardait l'ensemble de la piece lumineuse quelque soit le temps.
La decoration etait a l'image du couloir, hors de prix et sans age, mais contrairement au couloir ou la richesse etait mise en avant, dans cette salle c'etait la simplicite qui etait de rigueur, avec un meuble de bois ancien, l'acajou si ca memoire etait bonne. Sur lequel ce tenait un vase blanc immacule.
Des tableaux simples de paysages sur certains murs.

Igor s'assit a sa place dans un des grands sieges de la salle du conseil, il avait garde le siege que son pere avait, qu'il avait lui meme garde du premier membre assis a cette place, un siege de bois lourd et inconfortable.
certains membres avaient fait changer ces sieges pour en avoir des plus confortables ou plus adaptes a leur morphologie.

Il etait le premier arrive, il ce servit un verre d'eau dans la carafe posee devant lui comme devant chaque siege et attendit en ce demandant ce que les dirigeants allaient encore trouver pour cette fois.

Il etait fatigue de ses reunions, a son age il n'aurait jamais du etre admis au conseil, comme beaucoup d'autres, mais la force des choses avaient fait que...
Resultat des responsabilites a n'en plus finir et a peine le temps de profiter de la vie, d'accord elle allait etre longue, mais quand meme, il aurait prefere allez au centre commercial pour ce promener et peut etre meme essayer de draguer une des nombreuses vendeuses, mais non! Il allait devoir jouer avec le destin avec les autres dirigeants.
Ces reunions modifiaient la marche du monde et si il voulait que le monde ce modifie comme il le voulait il devait payer de son temps et de sa personne il n'y avait que comme ca que les choses changeraient.

-Arregle esto en mi habitación por favor.

-Oui, Mademoiselle.

-Y Llame el coche para mi, tengo una reunión con gentes importantes…

-Certainement Mademoiselle.

-Merci bien.

Avoir Signé ces documents, et ceux-là, sans même avoir regardé ce qu’il y avait d’écrit dessus, un peu de négligence dans une situation si dramatique qu’elle n’en avait pas besoin. Mais il y avait tant de papiers à signer qu’il n’aurait pu en être autrement. C’est ainsi, qu’elle paraphait, distraite chacun des traités, accords, contrats, adressés à sa famille.
Elle s’occupait des choses importantes maintenant, des choses importantes et des gens importants, c’était comme si, son père avait jugé juste de délaisser les affaires dans une situation si délicate. Elle ne pouvait que le remercier d’avoir pris sa « retraite » maintenant.
Elle n’avait pas vraiment eu le choix, du jour au lendemain, il s’était enfermé dans sa chambre, sa mère était toujours de sortie, et revenait le rejoindre le soir au lit, on lui apportait son repas au lit. Et bien sûr…

-No puedo entrar…

Non, dès le premier jour, il lui avait été interdit d’entrer. Ce jour avait été précédé, peu de temps avant, par ses 18 ans, le jour où elle devenait « responsable » et capable de gérer quelque chose et d’en être « juge ».
Et bien qu’elle soit chargée de gérer toutes les affaires familiales, qu’elle doive représenter la chose dite « la plus importante », elle ne pouvait entrer dans la chambre de son père, même pour lui adresser la parole, on lui avait interdit.
Bien entendu, elle aurait pu signer un papier « malencontreusement » qui aurait dit qu’elle avait tout droit sur la maison, puisque étant son gérant, et que ses parents étaient désormais jugés comme incapables d’être responsables d’eux-mêmes.
Mais « la famille était la plus importante ».
Ainsi, elle vivait « seule », si on pouvait appeler une vie pareille « solitude », entourée de domestiques, de paroles retenues et polies, de demande de services ou de réveils à l’aube. En fait, oui, c’était bien cela de la solitude.
La voiture allait l’attendre devant le perron.
La demeure ressemblait en tout point, ou presque, au genre de maisons qu’elle avait habitée autrefois en Espagne, à Grenade notamment. Sauf que celle là était purement artificielle, histoire de se sentir presque « comme chez soi », et il valait mieux appuyer sur le presque, comme on ne se sentait pas du tout ainsi, entourée d’immeubles et de gris. Mais la tristesse l’atteignait peu désormais. Au début, oui. Avant un certain évènement. Mais elle ne s’en souvenait plus, désormais, elle vivait, sortait, sans aucun étant d’âme, sans un moindre soupir, tout n’était qu’indifférence. Et sans doute, c’était mieux ainsi.
Tailleur sombre, touches de couleur en ses lèvres, sa chemise et légèrement ses yeux, cheveux retirés en une sorte de chignon, peau pâle, démarche féminine, mais sérieuse.
Elle sortit de la demeure par l’entrée principale, celle qui donnait sur le perron. Elle descendit les marches, posément, et rapidement à la fois, facilement, sans aucunes difficultés qui auraient pu être avec les chaussures qu’elle avait. Mais l’élégance était un atout non négligeable qu’il fallait s’assurer d’avoir quand on voulait être pris au sérieux. Sans doute, donnaient ce sérieux et cette élégance, un piquant apprécié, mais après tout, tout n’était que manipulation.
Elle entra dans la voiture noire, « vernie », impeccable, luxueuse, en accord avec elle, donc, et dès que la porte fut fermée, un instant, deux, et la voiture partit. La grille s’ouvrit juste à temps et le transport put avancer sans aucune interruption. La grille se ferma, elle était partie. Pendant cette journée, dans la demeure, il n’y aurait plus le moindre bruit. Les déplacements des domestiques ne s’alourdiraient pas, pas de bruits de talons un peu trop prononcés, rien…Juste peut-être une porte grinçante à l’entrée de la domestique dans la chambre de celui qui se faisait encore appeler « Maître ».
Son menton était en appui dans la paume de sa main, sa main tenant sur son bras, lui-même en appui sur l’accoudoir. Dans la voiture, un homme en costard, si l’on oubliait le chauffeur et le garde du corps. Ces deux derniers se tenaient à l’avant, silencieux, n’ayant que pour but, de la conduire à destination pour l’un, et de veiller à sa sécurité pour l’autre. Les parties avant et arrière de la voiture étaient séparées par une vitre insonorisée, ouvrable par un bouton accessible et à l’avant et à l’arrière. C’est ainsi qu’elle pouvait converser de choses plus professionnelles et à ne pas divulguer, avec l’homme qui se tenait à sa gauche.

-Qu’allez-vous faire et dire?

De sa voix légèrement accentuée par ses origines, elle répondit d’une voix posée et toujours aussi froide, orientant sa pupille légèrement vers l’homme qui lui posait la question.

-La même chose que pour chaque fois, je me contenterai de m’asseoir, de me servir un verre d’eau, de le boire, d’adresser un ou deux bonjours à de parfaits inconnus et de me taire pendant cette séance.

-Dois-je en conclure que vous n’avez rien préparé ?

Du même ton, elle répondit après quelques instants marqués par un silence.

-C’est bien cela, j’ai jugé qu’il n’était pas nécessaire, une fois de plus, d’intervenir. Ils sont bien assez nombreux pour se créer des rivalités. Je viens juste pour nous représenter, pour obtenir des nouvelles et me tenir informée.

-Très bien, c’est comme il vous plaira.

Et oui, c’était très bien ainsi. Le silence retomba dans la voiture, seul se faisait entendre, et encore, le léger bruit du moteur.
Après encore quelques minutes de patience, la voiture arriva à bon port, tourna dans l’allée, entra dans la place qui donnait sur les escaliers de l’immense bâtiment qui se dressait là comme un roi, un président, droit et imperturbable, le centre du monde. Et c’était un peu ça, en effet…
Le chauffeur freina, l’arrêt fut efficace et contrôlé, en coordination, le garde du corps sortit par sa portière et alla ouvrir la porte à la jeune femme. Elle sortit, jambes premières de la sombre voiture, suivie de l’accompagnateur. Le garde ferma la porte derrière eux, et les accompagna, les suivant d’un pas mesuré, mais proche toutefois, épiant chaque mouvement suspect.
Et tout cela, fait sans aucune émotion.
Ils entrèrent dans le bâtiment, la porte magnétique s’ouvrit, comme par habitude. Ils la traversèrent, elle se ferma directement derrière. La jeune femme ouvrit les yeux sur ce qu’il y avait là, puissants hommes d’affaire à qui elle ne parlait jamais, ou en de rares occasions, juste pour leur rappeler son existence par une élégance et un raffinement sans fin.
Elle adressa toutefois quelques bonjours, à ceux qu’elle croisa à proximité, mais ne s’arrêta pas. Les 3 silhouettes continuaient leur chemin.
Quand enfin, le garde du corps comprit que son heure était venue, il stoppa sa marche, suivit la leur du regard qui continua sans aucun regard pour lui qui venait de s’arrêter. Désormais, tous deux étaient en sécurité, et s’ils ne l’étaient même plus, en fait, aucun garde du corps n’était nécessaire, si une personne en voulait à sa vie, elle n’avait pas besoin de se cacher, de se faire protéger, elle était fichue. Et c’était en sachant pertinemment cela qu’elle y allait. Toutes les personnes présentes en cet endroit étaient dangereuses, extrêmement dangereuses, il fallait y aller, en ayant « confiance », bien que personne n’ait réellement confiance. Tout le monde le savait, et on ne disait rien. On se contentait seulement de se dire qu’arriverait ce qu’il arriverait, et qu’en rentrant dans ce bâtiment, les dés étaient lancés. Pas besoin de plus de détails.
Ils prirent un ascenseur, long, mais rapide.
Elle n’observa pas les détails, c’était comme si elle fermait les yeux, aveugle.
Elle était jeune, fine, et pourtant tant vieillie il semblait… dans toute cette vie qui l’entourait.
Sortis de l’ascenseur, ils se quittèrent prenant deux destinations différentes et n’échangeant aucun mot, comme des automates. Elle continua sa marche, solitaire, discrète et efficace, entendant de temps en temps de légers bruits au loin, mais n’y prêtant guère attention.
Arrivée à destination, une porte coulissante s’ouvrit. S’offrit alors à ses yeux, la salle, l’auditoire, prête à commencer la réunion. Elle alla s’asseoir au siège qu’elle et sa famille avaient toujours occupé, et retournant son verre sans déjà s’en servir un, elle observa la salle, et précisément, ceux qui y étaient déjà. Une fois de plus, sans états d’âme et sans montrer le moindre sentiment.
Elle se demandait toutefois dans quelles intentions, les autres venaient.

Tetsuya était seul, seul dans cette immense manoir laisser par ses parents, il était seul dans cet endroit immense aucun domestique.
Le manoir était un assemblage d’époque diverses et varié, des pan de mur entier pouvait être en bois et en pierre dans un architecture copier de la renaissance puis une architecture impérial avait vu le jour pour un 2° étage durant le règne de napoléon avec la catastrophe la plus part du bâtiment avait volait en éclat, une structure métallique très moderne, donner a ce lieux un aspect singulier ; de plus l’endroit vide de toute vie le rendait froid et lugubre.
Tetsuya serpenté ces couloirs couloir neutre a longueur de journée, il s’y plaisait dans cette iceberg géant ; Il descendit les escalier en fer pour arriver dans une salle close entièrement blanche, sans aucune ouverture a par la porte coulissante qu’il venait de prendre, si bien que quand il l’eu refermer, on aurait pu crois que la pièce n’était qu’une infinité sans horizon, la salle était éclairer par de discret néon accrocher a chaque arrête de la pièce.

Au milieu de cette univers blanc il ce coucha, ferma les yeux, et sombra dans le monde noir du sommeil…

Il se réveilla, sorti de la salle, qui donner au milieu d’un couloir gris et rouge, tout au fond le couloir ce terminer sur un halle immense, le sol était en damier et des statues de 2 de haut était au garde à vous telle une haie d’honneur, Tetsuya passa au milieu d’eux pour rejoindre un bureau de taille respectable, semblait minuscule au milieu de cette salle tailler pour les géant, le plafond former une coupole de verre dont les galaxie d’un ciel nocturne artificiel tournait lentement.
Le garçon s’assit sur une chaise en fer forger remplit de rosace et autre figure romanesque.
Le bureau était du même style que la chaise, il était recouvert de feuille note, d’approximation, de résultat des différents laboratoires … etc.

Il ramassa une feuille froisser , son sourire apparu un sourire doux en vérité, mais, dans ces temps de noirceur les sourire sincère cache toujours quelque chose !
La feuille en question était une lettre de convocation au conseil, sa seule distraction de la semaine et c’était aujourd’hui ! Il souriait de voir tous les hypocrite réunit en même temps, lui aussi mentait, mais, lui mentait pour des raison valable eux mentaient cars, il ne savait pas parler ! a cette pensait il ria d’un éclat exagéré, et tout en riant il prit toute les feuille présente sur sont bureau, retraversa la salle dans le sens inverse, continua par le couloir, pris l’escalier, arriva dans une salle en bois et métal une cheminée brûlée vivement, il lança toute les feuille dans le brasier, et a ce moment seulement il arrêta de rire.
Cette salle-ci avait une immense baie vitrée donnant une vue parfaite sur Antaria, sur le mur dans face des tableau représentant toutes les chose les plus tortueuse et cauchemardesque imaginer par l’homme, ces tableau n’était pas horrible, aucune goutte de sang n’était représenter, ce n’était que des couleur enchevêtrait sans logique, mais a leur vu n’importe qui ce sentirai mal à l’aise.
Tetsuya les contempla un moment puis détourna le regard, il descendit les escaliers, et sorti.

Au milieu de la rue Tetsuya marcher au milieu des citoyen, d’ailleurs, au milieu de cette foule il n’avait rien de noble, on l’eu prit pour un citoyen normale ne choquerai personne !
Il portait une veste certain d’une matière plus cher que du simple tissu, mais son apparence restait austère, avec cette veste noir et son pantalon noir et rouge, la seul chose qui pouvait faire croire a sa richesse était les quelque perle accrocher a ses cheveux !

Au fur et à mesure qu’il ce rapprochait du conseil les nobles était de plus en plus présent, à pied entouré de garde du corps , en voiture dans des magnifique limousine noir sans nuance,.

Tetsuya trouvé sa inutile, mais, pas désagréable après tout si on peut ce facilité la tâche pourquoi refuser ?
Il arriva dans l’immense escalier des groupe de magistrat discuter entre eux, alors que dans quelques minutes, ils allait tout faire pour écraser l’autre, « hypocrite » se disait il en souriant. Devant il voyait une fille qui contrairement a tout ce beau préféré directement s’installer a sa place, Il l’avait déjà vu au conseil d’avant, elle ne prenait guère la parole, elle a bien raison moins on parle, moins on a d’ennemi, plus on en sait ! Son nom tesuya n’en ai pas sur : Daphne Onsès.

Il continua dans sa direction.
La salle du conseil était pratiquement vide, il y avait également un certain Igor Vardimowski.
Tetsuya s’assit a la place qu’il a toujours tenu : son père était mort avant que ne soit instaure le conseil donc ce siége lui appartenait sans succession.

La salle commençait a ces remplir, il regarda ses collègues et déclara à leur intention :

« Que la partie commence ! »

Voila l’aube qui se lève et pourtant elle est depuis longtemps au sommet de son château guettant l’horizon pour le levée du soleil dont elle appréciait le réveil et le couché. Line était là ne bougeant pas une seule seconde, sur son épaule celle qu’elle protégeait comme sa fille son phénix Kali, elle aussi aimé cette habitude de se lever tôt et d’avoir cette chaleur naturelle pour le peu de fois ou il leurs étaient possible de l’avoir, elles descendirent enfin afin de pouvoir déjeuner en paix. Les femmes de ce château était plus que reconnaissante envers Line, elle qui les avait sauvé de la misère ainsi que les enfants qui avait à ce jour une bonne éducation, mais ce silence fut de courte durée, car une chose parviens à ses oreilles.

Une personne vous demande à la porte Dame Line !

Qui cela pouvait être à cette heure là ?! Kali monta sur les remparts en compagnie des jeunes soldats arc à la main et bandé d’une joli flèche, les portes s’ouvrirent laissant passer une personne totalement capuché, qui ôta le haut de celle-ci pour laisser voir son visage.

Bonjour Line

C’était Arthur son beau père, heureuse de le voir là elle le prit dans ses bras, cela faisait 2 mois qu’elle était en ces lieux et il n’y avait nul personne qui lui avait rendu visite. Il se trouvait bouche bé devant le château, il avait retrouvé sa splendeur dan temps. Puis il vit le cercueil de son fils et l’inscription qu’il avait.

Tu as bien fait, il est heureux là je le sens.

Entrons Arthur venez vous asseoir, le château est loin et vous êtes venu seul vous devez avoir quelque chose d’important à me dire. Surtout pour avoir prit le risque de venir jusqu’ici à l’aube et seul.

Il s’assis en compagnie de sa belle fille, regardant avec les yeux ébahis la beauté de celui-ci, puis fini par sortir une lettre de sa cape, cette lettre divulgué une réunion entre les nobles, mais ses beaux parents n’allaient jamais là bas, ne voulant pas montrer leurs pouvoir, mais Line étant leurs gardiennes elle se devaient de se rendre là bas.

Mais de quoi cela va parler ?

Je n’en sais rien je n’y suis jamais allé et puis je ne peux te dire s’ils seront comme toi ou s’ils ne seront que de simple humain, le tout est que je pense que tu dois y aller, qui sait notre royaume est peut être en danger !

Oui vous avez raison je vais m’habiller et m’y rendre de suite, merci Arthur je vais vous faire raccompagné jusque chez vous par quelque uns de mes hommes.

Il l’embrassa puis reparti dans son château, Line était entrain de se demander comment cela allait se passer ? De quoi allaient ils parler ? Comment savoir s’ils étaient des Omégas comme on les appelle et s’ils n’en étaient pas comment réagiraient ils en sachant qu’elle est ainsi ? T’en de question mais une seule réponse, s’y rendre pour mieux savoir !

Celle-ci avait lieu dans l’après midi ce qui laissa un bon moment à Line pour repérer les lieux, Kali elle resta dans le château, en faite Line avait peur que sa belle mère attaque son château quand elle ne soit pas là, partant ainsi devant son beau père l’alerte serait donné. Le conseil avait lieux dans une tour gigantesque près d’une foret. Pour l’heure du repas Line fut de retour elles mangèrent puis se prépara.

Deux femmes vinrent lui porter conseils, lui demandant de ne pas dire qui elle était réellement afin de mieux garder son château, et puis s’habiller comme une noble et non pas avec ses habits de guerrière. Elles s’occupèrent donc d’habiller Line la couvrant d’une joli robe que Waren lui avait offert, une robe que ces dames avaient légèrement modifié, ne laissant qu’un bustier pour le haut, ainsi les ailes ne démoliraient pas la robe.

Elle prit alors son envol, avec sa robe d’un rouge vif, difficile de ne pas être vu dans les airs, raison pour laquelle elle volait haut très haut au dessus des nuages, puis au moment de descendre elle piqua en flèche pour atterrir dans une foret et suivre la route comme ci de rien n’était. Arrivant au porte d’une grande tour, Kali était dans Line depuis un bon nombre de temps, puis elle sortit de sa poche un badge que Arthur lui avait précieusement donné, elle fut alors diriger vers là ou il fallait aller.

Elle prit l’ascenseur puis arriva dans un couloir au tapisserie vielle mais très belle, puis entra enfin dans une grande pièce ou beaucoup de gens étaient présent, elle les salua tous d’un signe de tête et se présenta à haute voix.

Je suis Line Wayne représentante d’Algoria

Les yeux rivés vers le sommet…
Mais après tout, y avait-il un sommet dans cet endroit ? Tout en réalité ici, faisait penser à un sommet. Cette tour dominante au centre de tout, centre du monde, élevée pour mettre en évidence son importance. Importance ?
Sinon, il y avait aussi évidemment la hauteur du plafond dans cette salle, des salles comme on ne devait pas beaucoup en voir autre part qu’à Antaria, la grande Ville. Elle observa ce fameux plafond, dont l’architecture ne laissait pas douter du temps qu’il avait fallu mettre pour réaliser la multitude de détails. Comme certaines parties de ce bâtiment, on pensait à un plafond d’époque. Une époque bien révolue alors, et il était assez difficile d’accepter qu’un pareil bâtiment, si haut si grand, aurait pu exister à « l’époque ». Donc, la question résidait. Qu’est ce qui était vrai, qu’est ce qui ne l’était pas, et bien entendu, qui croire ?
Elle ne s’en souciait pas véritablement, ou alors très rarement.

Finalement, s’il fallait parler de sommets en grand nombre, c’était en cette salle qu’ils auraient pu se trouver. Ils auraient pu s’ils étaient déplacés. Car, la jeune femme réalisa après un instant que sans doute, beaucoup des plus grosses têtes ne seraient présentes à l’entretien. Elle ne dénigrait pas ceux qui y étaient actuellement mais elle ne pouvait s’empêcher de s’étonner d’un manque de participation à un rassemblement de cette ampleur. Sans doute, les omégas, avaient-ils pensé ne pas éprouver le besoin de s’y rendre, après tout, combien y avait il de personnes insignifiantes pour eux ? La grande majorité. Ce serait alors sûrement pour les membres présents, une simple formalité. Formalité à laquelle, personnellement, elle n’entendait pas s’absenter, malgré son manque d’initiatives, malgré le peu d’estime qu’elle accordait aux autres, elle ne voulait pas, elle ne pouvait pas, c’était devenu un rite. Pourtant peu important mais lui donnant une occasion d’exister dans une autre vie que celle qu’elle pouvait vivre sous son autre apparence.

*Ne dit-on pas que la différence nous unit… ?*

Quelques personnalités entrèrent, s’assirent, discutèrent, quelques personnes, tout comme elle, ne semblaient pas habituées à discuter avec autant d’entrain, ou tout simplement, peut-être n’avaient ils pas tissé de liens avec les autres membres du conseil. Ce qu’elle pouvait tout à fait comprendre, et à la fois, c’était tout à fait inintéressant. Certains se hissant entre les sièges du mieux qu’ils le pouvaient lui adressèrent une salutation qu’elle leur rendit, bien entendu. Lorsqu’elle entendit un jeune homme non loin lancer une réflexion qui était assez adaptée à la situation, elle se retourna pour l’identifier et décrire ce personnage. Une partie, comme à un jeu. Il ne semblait pas très âgé, jeune, aisé et discret à la fois. Sa remarque semblait adressée à tout le monde, et c’est pour cela qu’elle la releva. Ensuite, vint une jeune femme, pas bien grande, mais jolie, jeune. Elle en fut presque perturbée, il n’était pas habituel de voir ce genre de profil au conseil. Bien entendu, la remarque pouvait se retourner vers elle mais cela, elle n’y pensait pas. Elle ne pensait pas plus que cette jeune femme et elle puissent avoir des points communs. C’était exclu.
D’ailleurs, c’était également peu probable.

Il fallait dire que cette jeune personne avait une chaleur qui tournait tout autour d’elle, de celle qu’on avait pas l’habitude de voir à Antaria, et encore moins au conseil, de celle qu’elle ne connaissait pas chez elle, ou qu’elle ne se souvenait avoir connu. Ainsi, elles n’avaient rien de semblables. La jeune femme également, se distançait des autres personnes par son allure quelque peu « décalée » ou même par sa tenue légèrement princière. Le contemporain ne privilégiait ce genre de tenue qu’en soirée. Il n’y avait qu’à voir Daphne pour le comprendre, elle s’accoutumait en effet à toutes les coutumes, elle suivait le rang. C’était peu original ? Aucune importance. Elle, portait une tenue de travail, d’une certaine classe mais sans extravagance, féminine tout en gardant un côté presque masculin par ce sérieux et cette droiture. La tenue de l’autre jeune femme était bien plus fantaisiste.
Pour oublier les futilités auxquelles elle s’attardait, elle quitta des yeux la jeune femme qui venait de se présenter comme représentante d’une partie pavillonnaire de leur « monde ». Une partie riche. Daphne ne haussa point les sourcils, se contentant de se souvenir qui était cette femme et à quel rang elle appartenait. C’était important dans la vie qu’elle avait, de savoir qui était qui. C’était une des raisons pour lesquelles il n’était pas complètement inutile de se rendre à ce genre de réunions dites « importantes ». Ce n’était pas totalement décevant même s’il allait sûrement être répété les mêmes choses qu’aux autres fois à quelques mots près.

-C’est bien beau tout cela…

Murmura-t-elle pour elle-même se demandant quand les « réjouissances » allaient débuter.

Il semblait evident maintenant que les dirigeants ne ce montreraient pas.
Arrogance et tout le cortege du pouvoir...
Une seule omega semblait c'etre deplacee, la representante d'algoria d'apres ses propres mots.
Elle devait etre en place depuis peu.
Depuis son arrivee beaucoup de nobles c'etaient presentes, certaines familles les plus anciennes etaient representees, il en cotoyait certains pour ses affaires, d'autres pour les relations qu'il en tiraient tous, chacun cherchant a couvrir ses interets.
l'heure etait suffisament avancee pour que le doyen du conseil lance la session.

Tous s'assirent a leur place.
"L'ordre du conceil portera sur la presentation de la representante d'Algoria ainsi que son approbation par le conseil.Le point suivant portera sur les raports concernant les rebelles ainsi que sur leur ogranisation qui semblerait ce stabiliser sur un modele proche du notre.Tout membre du conseil pourra porter un sujet a l'attention des autres membres.Membres du conseil, prenez place et qu'une fois encore le monde obeisse aux regles du conseil et a sa sagesse."

Ben voyons...

Des hommes passerent pour distribuer les rapports des espions portants sur les differentes regions sous le controle des rebelles, ainsi que leur chefs probables et les forces en presences, les rapports etaient alarmistes comme toujours et pourtants le contenut variait peu.
Il semblerait les rebelles ne prevoient rien dans l'immediat.

"Est ce que ces rapports sont fiables?D'apres le contenu une sorte de treves semble etre en cours,pourquoi ne pas tenter une intervention dans la region la plus proche de nous pour prendre contacte avec un des chefs rebelles?Accordons leurs quelques avantages derisoires pour nous et demandons le libre passage de nos hommes et marchandises.Il deviet urgent de securiser les routes entre nos villes, non seulement pour le deplacement personnel que pour le commerce."

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