Enfin chez elle... [pv Igor]

Après s'être promenée en ville et après avoir fait une rencontre peu banale Sakurako décida de finalement rentrer chez elle. Elle préféra marcher pour rejoindre son domaine plutôt que de voler, simplement car ce n'était plus trés loin de chez elle. Elle marchait donc dans les rues quand au loin commença à se dessiner l'enceinte qui délimitait son territoire et c'était pour le moins immense... Elle remit d'un geste délicat une mèche de cheveux en place puis vérifia que sa robe n'allait pas de travers. Ce jour-là, elle portait une robe pleine de voile dans des tons de violet et dans des matières nobles. Elle cachait souvent son visage d'un léger voile, mais elle l'avait donné quelques heures plutôt à un étranger afin de lui en faire un bandage. Tout chez elle montrait qu'elle appartenait à la classe des nobles, non seulement ça, mais on voyait bien que sa fortune était bien plus élevée que la moyenne.
Elle avançait d'un pas tranquille vers le grand portail de fer et d'or admirant un moment le paysage, puis respirant un bon coup, heureuse d'être enfin chez elle. Elle était particulièrement calme, contrairement à son habitude d'être toujours en garde, prête à se battre ou encore devoir supporter la présence d'un de ces moins que rien de rebelles. Non là elle ne craignait rien, elle pouvait marcher ça et là sans trop réfléchir.
Au bout d'un moment, elle se dit qu'il était temps de rentrer et de s'occuper de tout ce qui lui déplaisait, à savoir signer des papiers, prendre ou annuler des rendez-vous,... Elle avait beau ne pas avoir à travailler, tellement sa fortune était grande, il fallait bien qu'elle la gère cependant. Rien que ces pensées la mettaient un peu de mauvaise humeur. Elle fit donc demi tour et tomba nez à nez avec un inconnu planté là au milieu de son chemin... Un inconnu? Pas tellement elle l'avait déjà vu quelque par mais où?

HJ/ désolée c'est pas original et pas trés long je ferais mieux plus tard...

Le voyage avait ete long et inconfortable jusqu'as Algoria.
Mais il devait le voir par lui meme.
Depuis quelques temps deja il avait envisage de ce trouver une demeure ici pour surveiller ses affaires dans cette ville.
Par le biais de ses relations on lui avait conseille plusieurs batiments.
A son arrivee il avait decide de partir seul explorer la ville pour reperer un peu les alentours.
Il ne craignait rien il le savait, de toute facon il avait toujours tout prevu.
certains batiments qu'on lui avaient conseilles etaient des ruines qui ne pouvaient lui convenir.
Il lui restait encore quelques endroit a voir.
L'un d'eux etait dans le quartier le plus recule de la ville.

Il etait passe devant un grand portail indiquant qu'il entrait dans un autre domaine.

Les lieux etaient plus a son gout et il prit le temps d'observer les alentours et continua sa route.
En sortant d'un allee il dut regarder un peu autour de lui, le chemin ne semblait pas bon.
Une femme failly lui rentrer dedans alors qu'il regardait de nouveau.

Une noble a en juger par ses vetements.
Cette couleur...
toujours la meme comme la majorite des nobles qui prenaient des couleurs comme embleme.

Il l'avait deja croise par le passe mais sans jamais y faire attention.
Qu'est ce qu'elle pouvait bien faire la?

Le jeune homme qui lui faisait face ne dit mot, pourtant la jeune femme toujours trop sûre d'elle attendait des excuses. Pourquoi? Mais parce qu'il avait failli lui rentrer dedans bien sûr! Elle le dévisagea sans un mot un instant, la tête haute, même face à un noble elle se sentait supérieur... Mais surtout elle se demandait ce qu'il pouvait bien faire là juste devant chez elle. Finalement, elle lança d'un ton froid, mais qui laissait entendre son petit accent japonais:

" - Vous cherchez quelque chose?"

Elle ne comptait pas s'excuser mais ne voulait pas l'agresser immédiatement non plus. Toujours l'observant, Sakurako pensa que le jeune homme semblait avoir son âge et était sans nul doute un noble lui aussi. Il avait des cheveux bruns, un petit bouc et des yeux foncés. Il n'était pas vraiment grand ni vraiment musclé. Sakurako faisait presque la même aille que lui avec ses petits talons. Elle se tenant droite et regardant de haut l'inconnu, elle fini par se rappeler où elle avait rencontré auparavant. Le jour où se promenant près de la frontière elle avait croisé le célèbre Midiane Noah, ce jeune noble était intervenu lui aussi. Elle ne se souvenait plus de son nom, mais elle était sûre que c'était bien lui.
Sortant de ces pensées, elle se rendit compte qu'elle l'observait d'un peu trop prés et un peu trop intensément depuis un moment. Elle fit alors un pas en arrière et détourna le regard vers le grand portail qui ouvrait son domaine. Il fallait qu'elle rentre chez elle, c'était pourquoi elle était ici au départ...

[i]Quel regard!
A croire ce regard c'etait de sa faute si elle ne regardait pas devant elle.
Il soutint son regard quelques seconde avant qu'elle ne se rende compte qu'elle le fixait un peu trop.

Elle ce retourna en s'eloignant un peu.
Si le dedain pouvait tuer il serait deja mort depuis un moment.
Il ne put s'empecher de sourire.

Toujours a fuir la confrontation en ce voilant la face.Voila comment il l'avait connu pour la 1er fois.

Il essaya de garder une voix neutre, tout comme elle.

"Et bien oui je cherche quelque chose justement.Vous croyez pouvoir m'aider?"

et voila, une legere touche de sarcasme et une point de defi dans la question et elle serait obligee d'y repondre.

Il le sentait, elle ne resitait pas a un defi.

Si elle pouvait l'aider? Bien sûr qu'elle le pourrait! Elle pouvait tout faire, mais le voulait-elle? En fait, à ce moment là, elle avait besoin d'une raison pour ne pas s'occuper de l'administration de ses affaires alors tout prétexte était bon à prendre et puis il était vrai que le ton qu'il avait employé sous entendait qu'elle n'en était pas capable et elle aimai le défi et se devait de le relever. Elle posa son regard froid dans celui de l'inconnu:

" - Je crois pouvoir faire beaucoup... Mais dîtes moi de qui il s'agit d'abord... Et qui êtes vous aussi..."

Elle-même ne s'était pas encore présentée, mais en ces temps de guerre et de combats incessants il fallait tout de même savoir à qui l'on avait à faire. Elle ajouta donc toujours d'une voix calme et froide:

" - Pour ma part, je suis Sakurako Hiryuu et je vis dans le domaine qui se trouve juste derrière vous..."

Elle attendait donc qu'il lui lance son défi et elle était prête à le relever. Que pouvait il bien chercher dans ce coin si reculé de la ville dans ce quartier résidentiel?

"Igor Vardimowski.Et il ne s'agit pas de qui mais de quoi dans ce cas precis.J'ai cru comprendre que certains batiments etaient a vendre.Et vous devez donnaitre la franchise des notres quand il s'agit de vendre, j'ai prefere m'assurer moi meme de ce que l'on me propose.
j'ai un plan ici que l'on m'as donne, il n'est pas precis mais si vous connaissez les lieux vous devriez etre capable de me guider non?"

Il sortit de sa poche un plan, plus un schema qu'un vrai plan, il aurait du demander plus d'information.
Ce "plan" faute d'un meilleur mot l'avais guide jusqu'ici sans probleme mais les choses avaient change une fois quittes les avenues principales.

Il lui tendit le papier, elle avait presque l'air decu de la qualite du defi.

Igor ce passa la main sur la bouche pour masquer un sourire et ce caressa le menton en attendant et il s'appuya sur sa canne.

C'était tout ce qu'il voulait? Vraiment? Dommage, pensa-t-elle, un peu déçue car ce défi était loin d'être à sa hauteur! Elle regarda vite fait le plan peu compréhensible et haussa les épaules:

" - Ca doit se trouver juste à côté de chez moi, mais il faut un petit moment pour y arriver... Il faut dire que l'enceinte de mon domaine est assez grande..."

Elle regarda un peu vers la route qui devait le conduire où il voulait... Oui ce n'était pas tout près... Elle ne pouvait d'ailleurs pas voir le portail voisin de là où ils étaient. Elle fit alors apparaître ses petites ailes de dragons dans son dos et s'éleva un peu dans les airs, avant de reposer pied à terre et de poursuivre avec une pointe d'ironie:

" - Je dirais qu'à vol d'oiseau c'est à un quart d'heure d'ici... Mais il me semble que vous êtes à pied... Donc ce sera peut-être plus long... Mais je n'ai pas entendu parler d'une vente dans le coin..."

En même temps elle ne s'y intéressait pas et ne connaissait rien aux potins du quartier, donc il était tout à fait possible que cette annonce soit réelle...

et hop un peu de vantardise...mais au moins je sais que c'est son domaine.
Et c'est normal que tu ne saches pas pour cette vente, mon dragonnet, elle n'as pas encore lieu.

"Vous avez vu juste je suis as pied, nous naissons avec des jambes alors autant s'en servir.Vous pouvez me guider?"

Il aurait pu faire appel au phenix mais ca aurait impliquer de bruler sa veste et surtout il n'y avait pas assez de place pour deployer ses ailes sans risque, son animal avait tendance a faire de l'impressionant, en plus d'avoir un sale caractere il etait vantard.

Il s'approcha d'elle pret a la suivre.

Le jeune homme semblait convaincu qu'elle l'accompagnerai... Elle n'en avait au départ pas vraiment l'intention et le fit bien évidemment remarquer de sa voix glaciale:

" - Qu'attendez-vous? Si vous ne voulez pas mettre trop de temps vous devriez partir dès maintenant..."

Si elle daignait l'y conduire en tus cas ce ne serait pas en marchant. Voyant qu'il l'attendait quand même elle refit apparaitre ses ailes et s'éleva pas vraiment haut dans le ciel, juste à un ou deux mètres du sol. Puis regardant Igor elle lui lança:

" - En fait, je n'ai rien à faire, je vous accompagne. Mais j'espère que cela ne vous dérange pas si je préfère l'altitude, marcher est quelque chose de bien trop fatiguant pour moi..."

Elle avançait tranquillement à peine plus vite que le noble à la canne. Ses voiles virevoltait avec le vent et donnait l'impression qu'un fantôme se déplaçait. Sakurako était assez calme en général et ne faisait que peu la conversation. Les gens de toute manière la fuyait, son manque d'humilité et son agressivité était une réputation qui la suivait continuellement. Mais après tout, ce n'était pas complètement faux... Même si derrière tout ça, il restait encore une âme et peut-être un cœur... Mais nul n'avait encore tentait de le découvrir... Bientôt ils arrivèrent près de l'entrée du domaine avoisinant celui de la jeune femme.

Vraiment il fallait qu'elle se mette a part.
Qu'importe, de toute facon il s'en moquait.

Ils marcherent en silence, toujours un peu derriere elle.

Elle etait vraiment comme on la decrivait, une garce.
Mais tous les nobles avait 2 facettes, sans cela ils ce mangeraient entre eux au lieu de faire front commun contre les rebelles.
La moindre faiblesse etait tout de suite exploitee, c'etait leur monde.
Le domaine semblait arriver a sa fin, la demarcation etait vraiment net!
fini la grille bien entretenue.
Elle semblait stopper sur un simple muret.
Derriere le domaine etait peu entretenu, il devait appartenir a quelqu'un de riche a une certaine epoque, il etait immense, il n'avait pas a souffir de la comparaison avec son voisin.
Vanite encore!

Comment ne pouvait t'elle pas connaitre son voisin?

"Vous savez qui habite ici?"

"-Vous savez qui habite ici?" lui demanda-t-il... Après un petit silence, elle posa pied à terre une nouvelle fois et fit disparaître ses ailes. Un peu honteuse pour une fois de ne pas connaître la réponse, elle ajouta d'une voix un peu plus douce qu'auparavant:

"- Je... je ne sais pas... du tout... Mais vous devez vous être renseigner non?"

Elle trouva l'endroit très joli même s'il semblait à l'abandon, elle avait un faible pour les ruines et les lieux désertés... Mais elle n'en fit pas la remarque. Elle se demandait cependant si il y avait vraiment quelqu'un qui pouvait vivre dans un tel endroit... C'était surement une maison secondaire, peu ou pas utilisée... Elle se tourna ensuite vers le jeune noble:

" - Avez-vous encore besoin de mes services? Je dois avouer que ce lieu m'intrigue, si vous allez plus loin laissez moi vous accompagner..."

Oui, car s'il fallait savoir deux choses sur la jeune femme, c'était qu'elle appréciait même sans le montrer la compagnie masculine et surtout qu'elle était très curieuse et que lorsqu'elle commençait à se poser des questions à propos de quelque chose, il lui fallait une réponse. Et là, c'était le cas, elle se demandait à qui appartenait ce lieu, depuis combien de temps était-il dans cet état, que comptez faire Igor de ces ruines... Tout se bousculait dans sa tête...

Alors elle etait intriguee?
de ses services?Elle ce rendait compte qu'elle ce rabaissait ou c'etait intentionel dans le but de l'amadouer?

"Oui un peu.Si vous voulez m'accompagner faites comme vous voulez."

Il s'approcha du portail rouille a l'entre.
Les batants grincaient mais il s'ouvrait.

Il entra.Malgre l'air d'abandon le chemin etait entretenu et praticable.
Des statues couvertes de mouses par endroit les accompagaient le long du chemin
La demeure etait en vue.

Comme On lui avait decrit le style etait baroque et ancien.
Une vrai maison fantome si on oubliait qu'elle etait relativement recente, les premiers proprietaires avaient voulu lui donner un charme ancien.

Le pari etait risque mais malgre tout ca semblait avoir ete un succes, malgre tout quelque chose le genait.
Si le reste convenait a ces attentes il n'aurait pas a visiter d'autres domaines.

Le jardin etait pour lui un detail.
Pourtant c'etait un detail qui semblait intriguer sa compagne.

Il sourit rapidement et continua de marcher vers le manoir.
Il s'arreta.
Voila ce qui le genait depuis tout a l'heure.
Pas le moindre drone de surveillance apparent, si c'etait une demeure noble, les drones etaient obligatoire.
La zone etait peut etre moins eloignee des combats, il devrait y avoir des drones.

Cela faisait maintenant plusieurs jours que Sirius dormait, deux jours, peut être même trois.
Sa lui arrivait souvent, surtout ses temps ci, c’était comme sa depuis des années, en fait c’était comme sa depuis qu’il était tombé malade, dès son plus jeune âge, malade de cette même maladie qui avait tué sa mère.
Il ne ressentait ni la faim ni la fatigue, c’est pourquoi il pouvait oublier de dormir pendant plusieurs jours ou parfois décider par lui même de ne pas se coucher, car il faut bien avouer qu’il redoutait le sommeil, il savait qu’à chaque fois qu’il s’endormait il risquait de ne jamais se réveiller , bien sûr il savait que les chances étaient minimes, mais du fait de sa maladie elles étaient quand même bien présentes et malgré qu’il ai peur de peu de choses c’était l’une de celles qui l’effrayait le plus.
Il se réveilla enfin, courbaturé d’avoir dormis si longtemps.
Il se hissa alors avec flemmardise jusqu’aux bords de son lit et s’apprêtant à poser un pied par terre il dérapa ridiculement et tomba sur le sol *Quel agréable façon de se lever* pensa t-il alors et il se mit debout, légèrement chancelant, puis s’étira :
Il allongea ses grand bras musclés devant lui comme s’il cherchait à les décrocher et comme chaque matin son dos se cambra en émettant un craquement sonore, il bailla et s’avança, traversant les immenses pièces de son gigantesque manoir.
Quel bazar, quel bordel si j’ose dire !
Des bouteilles d’alcool sur chaque meuble, à demi pleines, à demi renversées, des confettis, des sous vêtements aussi...
Qui de la noblesse ne connaît pas les fêtes mémorables des frères Kovacs ?
Les fêtes les plus longues et les plus déjantées qu’on puisse rêver.
Mais les temps qui couraient n’étaient pas à la fête et les soirées de Sirius connaissaient un public bien plus restreint que d’habitude.
Il faut dire que tout ce chaos était moins favorable aux festivités qu’il organisait.
Les nobles étaient inquiet ils se méfiaient les uns des autres par peur d’être trahis et ils défendaient leurs intérêts par des grands sourires et des coups bas.
Sirius lui s’en moquait, il avait conscience que de toute façon il ne vivrait pas très longtemps.
Il voulait profiter au maximum mais malgré cela il voulait se faire une place parmi les nobles et une place importante tant qu’à faire.
Il ne voulait pas jouer le rôle de sou fifre, il voulait prendre des décisions, il voulait avoir un impacte sur ce qui allait ce dérouler, le monde changeait et il le savait.
Il toussa, il était désormais dans sa salle de bain, ses mains étaient appuyées sur le bord du lavabo en marbre blanc, il toussa encore, une gerbe de sang si déposa, un sang noir, écœurant, il essuya ses lèvres d’un revers de main.
Il prit sa douche, s’habilla et se mit devant un miroir, un énorme miroir tout en longueur, le cadre en bois d’ébène contrastait avec le blanc étincelant de la pièce.
Il se regarda dans le miroir et sourit, il sourit de ses belles dents blanches bien alignées, il y avait dans son sourire quelque chose de carnassier et une pointe d’amusement dans ses yeux.
Ce sourire signifiait qu’il était satisfait, en effet il était très élégant : Il portait une chemise unie de couleur blanche, une veste et un pantalon noires ainsi que des chaussures d’un cuir lui aussi noir.
Comme toujours sa tenue montrait son rang, se n’était pas spécialement voulu mais il aimait montrer qu’il était un homme raffiné.
Il était assez séducteur en fait, même beaucoup.
Il apprécié toujours quand une jeune femme noble se retournait sur lui (se qui arrivait d’ailleurs assez fréquemment), sa l’amusait.
Un bruit le sortit de ses pensées, il s’en étonna car à vrai dire il était seul chez lui et il ne recevait que rarement des visites dites « à l’improviste », sans s’en inquiéter il descendit l’immense escalier qui donnait sur le hall d’entrée.

Cela ne semblait pas déranger Igor que la jeune femme l'accompagne. Alors elle n'allait pas s'en priver, il fallait avouer que même si il lui avait dit non elle l'aurait tout de même suivit. Cette maison, ce jardin tout était tellement différent de ce qu'elle avait toujours eu l'habitude d'avoir. Elle voulait donc en savoir plus et peu de choses auraient pu l'en empêcher. A vrai dire rien... Elle n'avait pas l'habitude d'obéir aux ordres et n'en acceptez de personne. Si quelqu'un donnait des ordres à suivre c'était bien elle?

C'est donc ainsi qu'elle suivit Igor dans le jardin. Peut-être que cet endroit était habité... On n'aurait pu parier cher que c'était un lieu abandonné mais l'ouïe fine de Sakurako put repérer un bruit à l'intérieur de la maison. Un bruit vraiment léger; Mais la jeune femme n'était pas douée pour reconnaitre exactement ce qu'elle sentait ou entendait. Tout ce qu'elle savait c'est que quelqu'un ou quelque chose avait bougé dans la maison. Elle se tourna vers Igor et demanda d'une voix toujours très calme et un peu glaciale:

" - Vous connaissez le propriétaire? Je ne sais absolument pas qui vit ici, mais il me semble que quelqu'un est à l'intérieur... Etes-vous attendu?"

Elle n'avait pas vraiment peur bien trop sûre d'elle pour penser que quelqu'un pourrait la battre mais par prudence elle fit apparaître un léger voile violet sur sa peau. Cette couleur venait en fait des écailles très fine du dragon qui était en elle et qui était si dures que malgré l'apparence douce et fine rien ne pouvait les transpercer.

HJ/ désolée pour le nombrede lignes je ferais mieux la prochaine fois

"Pas personellement, il devrait s'agir d'un jeune noble pret de la ruine, du moins c'est ce que l'on m'as rapporté.
Et non je ne suis pas attendu."

Il avait vu que la peau de sa compagne avait changee de couleur.

Des ecailles.Pour elle aussi quelque chose n'allait pas.
Neanmoins il n'avait pas l'intention de faire appel a son animal, pour le moment sa main avait glisse sur un emplacement de sa canne, pret a s'en servir.

Il prit une inspiration et cria.

"Personne ne vient accueillir les visiteurs?Devont nous egalement tout faire nous meme?Les regles de savoir vivre sont elles mortes chez la noblesse qui n'as de noble que le nom?"

Il continua d'avancer et regarda Sakurako en passant.

"Maintenant je suis attendu.Allons y"
Et commencea a monter les marches a l'avant de la demeure.

" Personne ne vient accueillir les visiteurs ? Devons nous également tout faire nous même ? Les règles de savoir vivre sont elles mortes chez la noblesse qui n'as de noble que le nom ? "

Sirius était dans le hall d’entrée quand il entendit ces paroles, il descendait la toute dernière marche de son immense escalier, il faillit d’ailleurs la rater tellement il fut abasourdie qu’on ose lui adresser ces paroles.
Il s’arrêta un instant, sa première question fut la suivante :
Qui ? Qui osait lui parler ainsi ? Qui avait l’audace de lui parler avec tant d’impertinence ?
Qui était suffisamment stupide pour oublier son rang, sa fortune, savait-il au moins à qui il s’adresser ?
Tout cela avait énervé Sirius, qu’on ose sans même le connaitre lui reprocher de ne pas avoir de savoir vivre, d’être un mauvais hôte, lui un mauvais hôte ? Quel blasphème ! Lui qui organisait toujours des fêtes interminables, des soirées extravagantes…
Jamais personne n’avait refusé une invitation à l’une de ses soirées, jamais personne ne s’était plaint d’ennui, jamais personne ne s’était plaint du manque de boisons, de nourriture…
D’une certaine manière Sirius était admiratif.
Il fallait beaucoup de courage pour oser le « défier », lui tenir tête, le provoquer comme il l’avait fait… ou beaucoup d’inconscience…
Surtout face à quelqu’un comme Sirius, car il faut bien avouer que Sirius était parfois un peu fou et qu’il avait déjà tué pour moins que ça….
En temps normal il aurait laissé à la porte et aurait envoyé balader assez grossièrement qui conque lui aurait tenu de pareil propos, mais il était d’assez bonne humeur et il voulait voir à qui il avait à faire, un peu plus tard peut être il lui ferait ravaler ses paroles.
Quelque part ça le faisait rire de rencontrer enfin quelqu’un qui semblait ne pas avoir peur de lui, car il faut bien avouer que Sirius était quelqu’un d’effrayant avec son allure de maccabée et son esprit un peu tordu sur les bords.
Voila pourquoi il n’avait pas de serviteur il les effrayait si bien que personne ne voulait travailler pour lui, lui-même préférait d’ailleurs la solitude à la présence constante de quelqu’un qui sursautait au moindre de ses faits et gestes.
Il s’avança alors et ouvrit l’immense porte d’entré à deux battants, il fit ensuite quelques pas, il était désormais face à eux, oui Eux, car l’homme qui venait de crier à sa fenêtre n’était pas seul, il était accompagné d’une jeune femme qui semblait légèrement plus jeune que lui.
Il la regarda alors, elle baissa les yeux, elle semblait craintive, elle était magnifique, elle était vêtue d’une longue robe violette qui semblait être de soie ou de quelque autre tissu précieux qui de toute évidence devait être hors de prix, mais comme toutes les jeunes femmes noble elle devait énormément tenir à son apparence.
L’homme qui l’accompagnait était légèrement plus petit que Sirius, légèrement moins musclé aussi, mais malgré tout Sirius savait que sa devait être un adversaire de taille si combat il y avait mais se n’était pas dans ses intentions pour le moment.
Et il leur dit alors d’une voix calme et posée, presque amusée de la situation :

« Alors comme sa je manque de savoir vivre ? »

Un léger sourire se dessina sur son visage...

La jeune femme n'eut pas le temps de répondre à Igor que quelqu'un arriva devant eux. C'était surement le propriétaire de ces lieux, c'est-à-dire son voisin. C'était donc à ce jeune homme que ce domaine si intrigant appartenait... Il était grand, bien plus qu'Igor, et Sakurako ne put que faire la comparaison un moment avec un sourire moqueur à l'attention de l'homme à la canne. Elle garda son rictus ironique quand le propriétaire des lieux continua en disant
« - Alors comme ça je manque de savoir vivre ? »
Il était clair qu'Igor n'avait pas fait preuve de beaucoup de tact en criant ainsi ce genre de propos, et elle-même n'aurait pas apprécié qu'on lui parle ainsi. Non seulement elle ne l'aurait pas apprécié mais surtout pas toléré. Mais ce n'était pas d'elle qu'il était question et que ce soit sa nouvelle rencontre ou ce voisin elle se moquait bien d'eux pour le moment et s'intéressait plutôt à cette maison en ruines, car elle adorait les antiquités et plus une antiquité était chère et plus elle l'aimait.
Elle inclina la tête en signe de salutations à l'homme qui venait donc d'arriver et lança sur un ton glacial à voix basse à Igor:

" - Ne me mêlez pas à vos propos je n'ai rien à voir la dedans... Compris?"

Puis elle leva la tête, et fixa le nouveau venu dans les yeux, ajoutant avec un léger accent mais toujours autant d'ironie:

" - Alors, c'est donc à vous qu'appartient ces ruines... Ce qui fait de vous mon voisin apparemment..."

Sakurako n'avait pas prévu ce genre de situation dans son planning mais se trouver dans une antiquité pareille avec deux hommes n'était pas pour lui déplaire...

Gagné!

Et voila comment bouger un noble... Des fois c'etait tellement facile que ca l'aurait fais presque rire.
Et encore le dit noble ressemblait plus a un client de croque mort qu'autre chose.

Et bien sur Sakurako toujours a proteger ses arrieres,mais il ne pouvait pas lui en vouloir.

"Avant toute chose, la demoiselle ici me signale que je ne dois pas la meler a nos histoire, entendez par la mes derniere paroles.Elle etait ici par pure curiosite.Mes affaire sont differentes.
Concernant le savoir vivre, a quelques secondes pres j'aurais confirme mes paroles.Et puis seul la mort est un vrai manque de savoir vivre."

Il regarda sa montre qu'il sortit de sa poche et qu'il rangea ausitot.

"Mais je suis admiratif de la rapidite de reaction.
Bien maintenant que ce point est eclairci passons aux presentations.
A ma gauche Mlle Hiryuu et votre serviteur Igor Vardimowski."

Il fit une petite reverence.

"Et notre hote est ? a part bien sur enchante de notre visite.."

Elle semblait intriguée par les lieux, elle regardait l’immense manoir juste devant-elle, scrutant chaque tuile, chaque gouttière, chaque fenêtre avec passion. Elle quitta presque à contre cœur la demeure des yeux pour regarder Sirius et elle lui dit avec un légère accent :

« Alors, c'est donc à vous qu'appartient ces ruines... Ce qui fait de vous mon voisin apparemment... »

Tient donc alors il s’agissait de sa voisine…
Sirius ne connaissait encore personne dans le quartier, pourtant il habitait dans la région depuis déjà un certain temps, il faut dire qu’il n’avait jamais prit la peine faire connaissance avec les nobles qui habitaient à côté de chez lui, il trouvait cela inutile, ça l’ennuyait.
En la voyant il le regretta, elle était très à son gout.
Il lui dit d’une voix douce :

«Vous êtes donc ma voisine… »

Il la regarda discrètement de haut en bas et ajouta :

« Si toute mes voisines sont aussi belles je sens que je ne vais pas tarder à faire le tour du quartier »

Il eu un léger rire malsain, puis il lui sourit d’un sourire carnassier.
Il lui sembla qu’elle s’apprêtait à reculer légèrement, mais elle s’abstint, elle était trop fière, trop fière pour montrer qu’elle était quelque peu effrayée.
Sirius ne cherchait aucunement à cacher la perfidie de ses sous-entendus, il s’était toujours moqué de ce que les gens pouvaient penser de lui, et ce n’était pas près de changer.
Sirius était un personnage bien singulier, mais ça n’avait jamais semblé déranger personne, bien sûr il y avait eu des rumeurs comme quoi il était fou… n’était ce vraiment qu’une rumeur ?
Lui-même ce posait la question… mais il ce disait que s’il était capable de ce la poser ça voulait dire qu’il ne devait pas l’être totalement…
Malgré tout c’était quelqu’un d’apprécié, sous ses air de croque mort un peu barge c’était quelqu’un de bien vivant qui aimait s’amuser.
Sirius ce tourna vers le noble qui lui dit :

« Avant toute chose, la demoiselle ici me signale que je ne dois pas la mêler a nos histoire, entendez par la mes dernière paroles. Elle était ici par pure curiosite. Mes affaires sont différentes.
Concernant le savoir vivre, a quelques secondes près j'aurais confirme mes paroles. Et puis seul la mort est un vrai manque de savoir vivre. »

Le noble sortit une montre de sa poche et la regarda avant de continuer :

« Mais je suis admiratif de la rapidité de réaction.
Bien maintenant que ce point est éclairci passons aux présentations.
A ma gauche Mlle Hiryuu et votre serviteur Igor Vardimowski
Et notre hôte est ? À part bien sur enchante de notre visite… »

Sirius sourit :

« Je me nomme Sirius Kovacs, mais vous avez dû entendre parler de moi, depuis la mort récente de mon père je suis le premier fournisseur d’arme de notre armé.

Il regarda la dénommée Hiryuu et répondit d’un ton amusé :

«Pour ce qui est de l’impertinence de votre ami vous n’avez pas à vous en faire, je ne comptais pas vous y mêler »

Il se tourna ensuite vers Igor et continua sur le même ton :

« Quant à vous je déciderai de votre sentence plus tard »

Il parlait d’un air quelque peu amusé si bien que l’on ne pouvait savoir s’il parlait sérieusement ou s’il plaisantait. Il continua :

« Bien nous continuerons cette discution à l’intérieur, suivez moi »

Il les fit alors entrer et les conduit dans l’un de ses salons. Tous deux observaient, ils semblaient intrigués par les lieux, il faut bien dire que la demeure de Sirius n’était pas toujours très bien rangé, en fait elle ne l’était jamais.
Sirius avait pour habitude lorsqu’il dérangeait quelque chose de ne jamais le remettre à sa place, c’est pourquoi les quelques pièces qu’il pouvait côtoyer devenait en quelque jours seulement un bordel innommable.
Sans cela sa maison était très élégante (sans cela bien sûr), elle était le mélange d’un style à la fois baroque et moderne.
Il y avait toujours ça et là quelques objets de haute technologie mais pourtant les meubles semblaient tous très anciens, les murs étaient habillés de dorures magnifiques représentant des corbeaux.
Tout était fait pour rappeler la noblesse du lieu autant que celle de son habitant.
Il les fit s’assoir dans des fauteuils en cuir noir et il s’assit en face d’eux avant de reprendre la discution :

« Alors mon cher Vardimowski dites moi les affaires dont vous parliez qu’elle sont-elle ? »

Après que le voisin de Sakurako se soit présenté, elle sembla encore plus intérressée. Bien sûr qu'elle en avait entendu parler, elle était une femme d'affaire après tout et le nom des Kovacs ne lui était pas inconnu. Elle décida donc de suivre les deux hommes dans la maison, bien qu'elle n'avait rien à y faire. Elle fut surprise par le compliment direct que lui fit Sirius et le sourire qu'il lui lança... Mais elle le prit très bien, adorant les compliments par dessus tout. Elle lui sourit en réponse ce qui était assez étrange de la part de la jeune femme qui avait plus l'habitude de garder un sourire ironique et rabaissant face à ses interlocuteurs. Puis l'homme lui lança en souriant qu'il ne la mêlerait pas à propos de son « ami ». Le sourire de Sakurako quant à lui redevint plus ironique et regardant de haut Igor elle ajouta d'un ton glacial:

« - Mon « ami »? Je ne vois aucun de mes amis ici, monsieur. Mais si vous voulez bien ne pas me mettre dans le même lot que M. Vardimowski, j'en serais heureuse. »

En réalité, Sakurako n'avait ni ami ici ni ailleurs, mais elle se privait bien de le souligner. Elle ne pouvait simplement pas s'empêcher de se séparer des autres et de créer un fossé qui l'empêcherait de trop bien s'entendre avec qui que ce soit, surtout des hommes. Car même si on pouvait lui reprocher beaucoup quant à son orgueil et sa vanité, il était une chose qu'on ne pouvait lui enlever, elle se connaissait très bien et savait qu'elle ne pouvait que succomber face à un noble de son rang. La distance était donc ce qu'elle s'imposait à elle-même pour se protéger.
Un instant plus tard ils étaient installés dans des fauteuils confortables et Sirius allait droit au but en questionnant Igor sur sa visite. C'est vrai qu'à la base Igor voulait racheté la maison des Kovacs, elle l'avait presque oublié. Elle s'assit donc à côté d'eux et n'ajouta plus un mot. Cela ne la regardait pas, mais cette maison lui plaisait tellement, qu'elle aurait été prête à la racheter elle-même. Elle attendit donc avec impatience la suite de la conversation.

"Les affaires? Mais nous sommes en plein dedans!
Je parle de votre actuel lieu de residence.Du peu que je sais et arretez moi si je me trompe, les fetes coutent cher, surtout les fetes de qualites si mes yeux ne m'ont pas trompe lors de notre passage dans vos couloirs.C'est pourquoi comme vous l'aurez surement compris, je viens vous alleger d'un tel fardeau."

Il n'avait pas regarde Sakurako depuis sa derniere phrase,il n'en avait pas besoin il savait deja a quoi elle pensait.
Le visage de Sirius n'avait pas bouge non plus de tout son petit discours et il n'esperait pas que ca change.
Il ce doutait bien que les choses ne partaient pas du meilleur pieds mais ce n'etait pas ce genre de detail qui allais l'arreter.

Il ce leva, ces fauteuils etaient trop confortable il preferait rester debout.
Il commencea a marcher dans la piece en jouant avec sa canne.

"Il me semble evident qu'il manque quelque chose quand on regarde l'etat du jardin."

Il designa la fenetre.
"Bien sur on pourrais aussi passer sur certains details."
Il poussa du pied une bouteille qui trainait la.
"Cela dit je me demande si j'ai toutes les bonnes informations, ce serait dommage, des gens qui m'ont si bien servi par le passe, faire une telle erreur serait vraiment quelque chose qui me desolerait.Au moins trois secondes."
Il arreta de marcher et pivota en direction de Sirius.

"Alors dites moi, ai-je raison ou pas?"

Alors c’était donc pour ça qu’ils lui avaient fait le plaisir d’une petite visite, amusant…oui, vraiment…
Ca paraissait bien étonnant… Il est vrai que la maison de Sirius intrigué pas mal de gens et beaucoup avait voulu l’acquérir… Mais la plupart de ces gens si était pris d’une tout autre manière, cherchant a flatter son égaux (déjà surdimensionné), à rentrer dans ses bonnes grâces…
Igor lui avait était assez maladroit d’une certaine manière… Mais pourtant s’il ne tenait pas tant à garder sa demeure, s’il n’était pas tant attaché a ces lieux Sirius lui aurait sans doute l’aigué, bien sur comme tout homme d’affaire qui se respecte il ne lui aurait pas laissé pour une bouché de pain, il aurait essayé de l’anarquer au maximum, mais malgré tout il aurait accepté son marché…
Pourquoi ? Bonne question… Mais oui, c’est vrai ça, pourquoi ?…
Par se que Sirius savait qu’au fond Igor n’était pas comme tous les autres, il n’était aussi hypocrite que ses « semblables »…
Ses semblables… parlons en tient, parlons de ces gens la, ces gens orgueilleux, vaniteux, qui ce détestent tous, ce jalousent tous, et pourtant qui se côtoient, touts les jours… se souriant hypocritement...
Voila, oui voila ce que Sirius détestait, et ce qu’il avait toujours détesté d’ailleurs.
C’était pour lui quelque chose d’atroce que de vivre constamment entouré de gens qui font semblant de s’aimer, qui s’en persuade même, mais qui ne savent rien de l’amour, tous ses gens hypocrites qu’il déteste.
En même temps lui-même n’avait jamais connu l’amour, il n’avait pas non plus déjà était aimé, a part bien sûr du temps ou il vivait avec sa mère…
Il faut dire que de toutes les femmes avec qui il avait eu des aventures, des relations de plus ou moins longues durées n’avaient « supporté » sa présence que dans l’unique but de profiter de son rang et de sa fortune, elles l’avaient toutes trahis… Elles l’avaient toutes déçue…
Il avait vécu durant trop longtemps dans ce milieu et il avait finit par le détester.
Il espérait que peut-être un jour il rencontrerait quelqu’un, quelqu’un qui serait capable de le comprendre, quelqu’un qui lui ressemblerait, mais il se disait : « Je suis stupide, ça n’arrivera jamais »
Il se sentait tellement différent, tellement différent de tous ses gens, pourtant il ne sortait pas tant que ça de l’ordinaire, il paraissait comme eux, par ses gestes, ses habitudes, sa façon de parler, c’était à force de les côtoyer depuis des années, sa lui faisait peur, il refusait de devenir l’un de leurs semblables.
Mais au fond il était différent, tout au fond de lui il n’était pas comme eux et il le savait, c’est pourquoi, bien qu’il les haïssait, il souffrait, il souffrait terriblement, il souffrait de solitude…
Il regarda Igor avec amusement :

« Vous savez Igor j’ai de la sympathie pour vous, ce qui n’ai pas donné à tous le monde et c’est donc avec regrets que je dois vous annoncer que ce manoir n’est pas à vendre »

Il se leva à son tour et alla le rejoindre, il se mit en face de la fenêtre et regarda dans la rue, il regardait les oiseaux, les nuages, les arbres…

Les deux nobles qui partaient dans une discussion de la vente de la maison n'avaient pas adressé un mot à Sakurako. Ce qui lui convenait vu qu'à la base elle n'avait rien à faire ici et rien à voir avec eux. Mais la réponse simple et claire de Sirius pour Igor l'avait quand même surpris et elle s'intéressa à la discussion un instant. La maison n'était pas à vendre? Alors Igor avait eu de fausses informations? C'était étrange... Sakurako eu un air insatisfait un instant. Sa curiosité l'avait certes poussait à venir mais aussi l'ennuie et si cette maison n'était pas à vendre, Igor et elle même n'avaient plus rien à y faire. Hors la jeune noble cherchait désespérément à fuir le travail qu'elle se devait de remplir mais elle ne savait pas comment. Elle soupira donc plus à elle même qu'à l'intention des deux hommes:

" - Bien on dirait que vous resterez donc mon voisin et que pour ma part je vais devoir retourner à mes affaires..."

Puis elle se leva et s'approcha des jeunes hommes, remettant une mèche de cheveux en place elle ajouta les fixant un à un dans les yeux:

" - Messieurs... Vous... Vous ne saurez pas... par hasard... comment me trouver une excuse pour ne pas rentrer seule chez moi?"

Elle avait pris un ton plus doux et moins ironique dans la voix, laissant une fois encore apparaître son petit accent étranger... Elle s'ennuyait ferme et était bien décidé ça changer ça...

Sirus venait de ce lever pour allez al fenetre.
Igor prit un disque dans une de ses poches et lui tendit.
"Regardez ca et apres donnez moi une reponse.J'aime bien garder une derniere carte dans ma manche.Par contre apres celle la j'ai perdu."
Il regarda egalement dehors.
Le jardin n'etait pas du toutr entretenu, une vrai ruine.
C'etait d'ailleurs son charme premier.
Quel dommage il avait commence a tout planifier pour cette maison.

Ce qui etait plus dommage c'etait le manque d'information qu'il avait eu sur la demeure, en cela ses informateurs avaient ete negligent, et cela ne devait pas etre permis.
Des tetes allaient tomber, si ils n'avaient pas encore appris, apres son passage la lecon serait retenue.

Il reflechissait a tout ca quand Sakurako s'approcha d'eux.

"Tient donc?Et vous avez des comptes a rendre?En general je ne fournis d'excuses qu'as mes amis.Mais si j'ai bonne memoire il n'y as aucun de vos amis ici non?"

hum.. je crois qu'on peut dire que ce topic a été abandonné par ce cher Sirius...
en plus ce forum est vraiment mort...
Bah j'abandonne aussi alors...

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